Le vélo électrique, comment ça marche ?
Le vélo électrique plus connu sous le nom de vélo à assistance électrique (VAE) ne date pas d’aujourd’hui mais n’a connu cet engouement que depuis quelques années. Entre les premiers modèles et ceux d’aujourd’hui, le principe de fonctionnement reste le même.
Par rapport à un modèle classique, un vélo électrique possède en plus un moteur, situé généralement dans l’axe de la roue arrière ou avant. Il s’agit du moteur à moyeu. Le moteur peut également être déporté, c’est-à-dire relié à la courroie de la chaîne. Enfin, le moteur peut être installé dans le pédalier. Dans l’un ou l’autre cas, l’objectif reste le même : limiter l’effort fourni par le cycliste. Le moteur est couplé à une batterie et relié à un boîtier de contrôle qui pilote le système d’assistance. Le dispositif comprend également un capteur qui détecte les mouvements de pédalage, d’accélération ou de freinage. En fonction du modèle, le moteur démarre dès lors que le cycliste fournit une certaine pression sur le pédalier par exemple, dès que le capteur ressent l’effort au pédalage.
Il faut savoir que le moteur aide à pédaler, apporte un meilleur confort de pilotage et ne permet en aucun cas à propulser le vélo de façon autonome. La rotation des pneus est nécessaire pour déclencher l’assistance. Grâce au boitier de commande, vous pouvez réguler l’intensité de l’assistance. L’autonomie de la batterie varie selon le modèle mais se situe globalement autour de 30 à 50 kilomètres par jour.